Les lieux à visiter à Rome

Ancienne capitale d’un Empire, Rome a gardé son charme et attire toujours un nombre impressionnant de touristes, venus des quatre coins du monde. La Ville Éternelle abrite de somptueux monuments historiques et quelques endroits charmants chargés d’histoire et de croyances en tout genre.

La Fontaine de Trévi

La Fontaine de Trévi, ou Fontana di Trevi est l’un des sites touristiques les plus connus de Rome. Située dans le Rione de Trévi et adossée au Palais Poli, cette fontaine majestueuse a été construite par Niccolo Salvi, à partir de 1732, à la demande du Pape Clément XII. A l’époque, elle devait remplacer un modeste bassin, édifié par Nicolas V. La construction de ce monument a été achevée en 1762, par Niccolo Pannini.

Selon la coutume, ceux qui souhaitent revoir la Ville Eternelle peuvent lancer une pièce par le bras droit dans la fontaine. Ainsi, ils retourneront à Rome pour retrouver cette pièce, selon une superstition.

Le Pont Saint-Ange

Le Pont Saint-Ange ou Ponte Sant-Angelo, est un pont reliant les deux rives du Tibre. Construit en 134, sous le règne de l’Empereur Hadrien, ce monument historique est doté de nombreuses statues d’anges gardiens et offre une atmosphère magnifiquement romantique.

Au Moyen-âge, ce pont était le principal moyen d’accès à la basilique Saint-Pierre et au Vatican. Actuellement, il est devenu un véritable sanctuaire pour les couples en quête de romantisme.

Le Vatican

Le Vatican est la représentation temporelle du Saint-Siège et est le plus petit Etat du monde. Créé le 11 février 2011, l’Etat de la Cité du Vatican attire chaque année un nombre impressionnant de pèlerins et mérite une petite journée de visite, que l’on soit Catholique ou pas.

D’après les anciens étymologistes, le nom de cette cité serait inspiré du mot Vaticinium ou Vatis, signifiant “devin” ou “voyant”. En effet, selon l’histoire de nombreux devins ont élu domicile dans cette partie du Tibre puisqu’ils leur sont interdits d’accéder à Rome, sous le règne de Tibère. A cette époque, l’art divinatoire était interdit dans la Ville Eternelle et la pratique de celui-ci était passible de confiscation des biens et de la relégation.